Le Mercredi 28 novembre 2018 - 12:00

C’était l’une des dispositions phares de la loi Claeys-Leonetti « créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie », promulguée le 2 février 2016. La sédation profonde et continue jusqu’au décès devait permettre, sous certaines conditions, aux patients qui en faisaient la demande de « dormir avant de mourir pour ne pas souffrir ». Combinée à un développement des soins palliatifs, la mesure devait contribuer à mettre fin au « mal mourir » en France.

Près de trois ans plus tard, ce dispositif « peine à se mettre en place sur le terrain », constate le groupe de travail mandaté par le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV), dans un document publié mercredi 28 novembre.

admd

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