
La Belgique, le Luxembourg et la Suisse, sous certaines conditions, accueillent des résidents étrangers. En Belgique et au Luxembourg, il faut être suivi de manière régulière par la médecine belge ou luxembourgeoise – même sans être résident – pour demander à bénéficier, si les conditions de recevabilité de la demande sont réunies, d’une aide active à mourir.
En Suisse, quatre associations (sur les six qui existent) peuvent répondre à la demande de suicide assisté de personnes étrangères à la Confédération helvétique.
Dans les autres pays qui ont légalisé une forme d’aide active à mourir (euthanasie ou suicide assisté), la loi ne s’applique que selon un critère de résidence ou d’immatriculation à la sécurité sociale du pays.
Nous vous présentons ci-dessous, au gré de l’actualité, les fiches des pays qui ont entamé des discussions sur le sujet de la fin de vie.

#FindeVie et aide active à mourir : "J’espère qu'il n'y aura pas certaines outrances de certains représentants religieux.

Mission d'évaluation de la loi Claeys-Leonetti sur la #FindeVie. Notre président, @JonathanDenis, sera auditionné à l'@AssembleeNat le lundi 30 janvier à 15h00.

Excellent séminaire à Paris des cadres bénévoles de notre association. Remerciements à nos intervenants.

Mission d'évaluation de la loi Claeys-Leonetti sur la #FindeVie. Notre président, Jonathan Denis, sera auditionné à l'Assemblée nationale le lundi 30 janvier à 15h00.